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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 14:11

 

Ce matin, mon écureuil

avait très mal à un œil,

alors je l'ai questionné

sur ce qu'il lui était arrivé.

 

Je lui ai demandé depuis quand

il attendait ainsi souffrant.

Il m'a répondu :

-je ne sais plus.

 

-tu ne te rappelle pas

si c'était après le repas

ou si ce vilain cocard

t'est venu plus tard ?

 

-non, ce n'est pas après,

c'est à cause des navets.

-mais tu n'en a pas mangé

lui dis-je un peu intrigué.

 

-je sais dit il a bas mots,

d'un air un peu penaud.

-et bien alors, qu'à tu fait

contre la faim qui t’assaillait.

 

-juste une petite bêtise

qui m'a pris par surprise.

J'ai voulu grimpé sur le frigidaire

pour attraper la boite de camembert.

 

Mais je n'y ai trouvé

qu'une grosse araignée.

Qui m'a fait chuter sur la tête

en plein dans le pot de noisettes.

 

Et comme je ne me sentait pas bien,

j'ai mangé ce que j'avais sous la main.

-le bord du pot est bien glissant,

c'est vrai, lui dis-je en riant.

 

Il faudrait effectivement y remédier

pour que tu ne risque plus d'y tomber.

À ces mots, le petit gastronome

tomba soudain dans les pommes.

 

Depuis, j'ai mis les noisettes

dans un endroit super chouette

que j'ai accroché

près de son panier.

 

Ce qui rassura mon écureuil

qui se voyait déjà en deuil

privé de ses friandises

par une boite sans prises.

 

Maintenant rassuré,

il passe ses journées

assis fièrement au balcon

du tiroir aux bonbons.

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 10:56

 

J'avais grandement besoin d'un bol d'air pur,

alors, je me suis promené dans la nature.

En passant tranquillement devant une ferme,

là, je vis des animaux comme je les aime.

 

Tout mignons, tout beaux,

voir ces petits lapereaux,

dans cette cour pittoresque,

m'a tiré une larme ou presque.

 

Je me suis approché de poules qui sont parties

pour faire place, à un coq vraiment en furie,

qui n'a pas hésité

à me sauter au nez.

 

J'ai courus pour me réfugier dans un coin,

mais je me suis fait chatouillé par un groin.

Sur qui je ne me suis pas attardé,

et ais détallé sans rien demander.

 

Je me suis vautré sur un gros minou,

qui m'a lacéré la tête comme un fou.

J'ai reculé et ais atterri sur un édredon

qui m'a pourchassé, c'était un dindon.

 

J'ai courus aussi loin que possible,

de ces bestioles pas si paisibles.

Et ais repris ma ballade

dans un état lamentable.

 

En avançant le long du chemin,

mes yeux ont brillé d'un éclat carmin.

Une grappe de mûres, mes friandises,

n'attendaient que moi et ma gourmandise.

 

Enfin, j'étais heureux et apaisé,

la bouche pleine, à me régaler.

Mais en essayant de m'extraire du buisson,

il m'a attrapé, griffé, et déchiré mon blouson.

 

Je me suis sauvé de cette nature sauvage,

tellement pressé, que j'ai loupé un virage.

Arrivé à la ville et sa pollution,

mes aïeux, qu'est ce que c'était bon.

 

J'ai été cherché dans une citée,

et j'y ai bien sur dus négocié

durement avec une très vieille dame,

pour me procurer un lance-flammes.

 

Arrivé près de chez moi,

j'ai aperçut un gentil chat,

mauvaise rancune oblige, je n'ai pas hésité,

j'ai sortit mon nouveau joujou, et l'ai flambé.

 

C'est quand je suis arrivé au niveau des poubelles,

que j'ai vus ces affreuses mouches rebelles.

J'ai eus comme un sursaut de panique,

et ais grillé jusqu'à la dernière tique.

 

Et en ouvrant ma porte en bois,

là, j'ai remarqué avec effrois,

le vieux ficus et toutes mes plantes,

j'ai craqué, du coup, je vis dans une tente.

 

Mais j'ai vus avec horreur ce matin,

qu'entre les dalles des pavés parisien,

il y avait une invasion de petits végétaux.

Il va me falloir ressortir mon chalumeau.

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 12:23

 

Seul dans le noir,

j'ai perdu l'espoir.

Privé de repères,

j'ai chuté à terre.

 

Du sol jusqu'au plafond,

il n'y avait pas d'attraction,

en ce lieu vide, sans apesanteur,

ou tout était uniforme, j'avais peur.

 

Je tournais en rond,

dans cet ersatz de ballon,

mon esprit devenait fou,

des hurlements de loup

 

sortaient du fond de mes entrailles,

crevant le silence par trop palpable.

Étais-ce dans mon esprit

ou avais-je bêtement été pris ?

 

Comment ne pas disjoncter

lorsque l'on est prisonnier,

dans un corps trop petit

pour contenir un esprit.

 

Quand s'est ont laissé prendre

d'un monde qui veux pendre

ce qui n'est pas uniformité

dans ce semblant d’humanité.

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26 janvier 2012 4 26 /01 /janvier /2012 10:03

 

Un démon sortant des bois,

mis tout le monde en effroi.

Mais une petite fille brune,

s'approcha dans la brume.

 

Elle questionna la bête

sur ce qu'elle avait en tête,

et lui proposa de venir

pour jouer avec elle à courir.

 

Trop content que l'on s'intéresse à lui,

car depuis des siècles tout le monde le fuit,

il se mit alors à galoper

au coté de cette effrontée.

 

Ils se reposèrent près d'une bergerie,

et elle lui demanda de lui raconter sa vie.

Il lui avoua que bien qu'il n'avait jamais tué,

les humains s’entre tuaient dans la ruée

 

ce qui se produisait inexorablement

à chaque fois qu'il apparaissait aux gens.

Et que ne voulant pas gâcher,

il se dévouait pour les manger.

 

Alors tu n'est pas du tout un monstre méchant !

Déclara la petite demoiselle en le chatouillant.

Vus qu'il n'était qu'un simple démon rieur,

et qu'autour de lui il n'y avait que des pleurs,

 

son sourire dans le cœur des gens

s'était changé en masque grimaçant.

C'est pour ça, que depuis, il vivait dans l'ombre,

sous le couvert de la brume et des bois sombres.

 

C'est que les gens avaient petit à petit pris peur du noir,

et que la nuit était devenue une source de désespoir.

On déclara que toutes les créatures était des bêtes maléfiques

ce qui leur donna bonne conscience pour exterminer le magique.

 

Avant de se quitter, ils se promirent

que le lendemain ils iraient rirent

en regardant paniquer et courir les villageois

qui détalleraient pour sur, dans le désarroi.

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 13:17

 

Il est vrais que quand je dors mal, j'ai des mœurs bizarres, mais comme tout à chacun, il nous faut bien quelque chose qui nous apaise.

Ok, c'est vrais que j'ai plein de distractions, mais quand même, on ne peut s’amuser tout le temps, il faut bien quelques repos de temps en temps..

je vous l'accorde ce n'est pas reluisant de découper les gens, mais c'est crevant.

 

 

Et voilà, comme vous l'avez sûrement compris, ce petit texte risque de choquer vos petites âmes fragiles, et donc est soumis à restriction.

 

Il est donc formellement interdit aux enfants et aux banquiers, de le lire...

 

aux autres bonne lecture.

 

 

 

 

Quand parfois, tard, dans la nuit,

le sommeil ne me prend dans mon lit,

alors, je descend au sous-sol

et démarre la presse à pétrole.

 

Là je fabrique des faux billets

l'odeur de l'encre me plais,

j'aime les euros quand ils sont tout chauds,

car je peut enfin m'endormir dans ce magot.

 

Le matin au réveil je me sent généreux

avec mes employés du donjon affreux.

Je sais que ces primes en monnaie de singe ça les ravit,

bien que se soit pareil avec des coupures de monopoly.

 

Après tout, que voulez vous qu'ils en fassent,

puisque sur terre ils n'ont plus leur place,

ils leur faut bien une distraction

pour vous éviter la destruction.

 

Voyez vous, quand j'ai une panne j’appelle les gargouilles,

vu qu'elles sont douées pour réparer et faire de la bidouille.

Pour régler le problème d'éventuels intrus,

dans mon service d'ordre il y a Cthulhu.

 

Voilà. Non mais, me direz vous ce n'est pas très honnête.

Mais non, ce n'est qu'un somnifère qui me sert de couette

dans mon monde, l'argent n'est qu'un leurre,

il n'y a que les pactes qui ont de la valeur.

 

Alors, qu'ils soient vrais ou bien faux,

les billets ne sont que du pipeau,

pour nous, il n'y a que vos âmes et votre sang

qui importent et nous intéressent vraiment.

 

 

Ps : pour les demandes de dons veuillez voir avec les sévices consterné,

ils vous feront juste signer un petit document, sans danger,

c'est seulement un tout petit contrat

valable, quand vous passerez à trépas.

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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 10:50

 

Ce texte est sujet à controverse,
donc j'impose une restriction,
car toute ressemblance avec des personnages existants ne serait que fortuitement arrivé par le plus grand des hasard, et ne serais pas de la compétence de notre bon vouloir...

Alors, vu qu'en l'état, il peut être choquant,

il est donc, prié  aux âmes sensibles de s'abstenir de le lire,

et est par conséquent interdit aux enfants et aux vilains dirigeants....



On me trouve parfois un peu psychopathe,
certains pensent que je suis un tueur en série !
Mais non, je ne fait pas de psychoses devant les pattes,
et je ne tue pas hors boulot, ou alors que ceux qui m’ennuie.

Je traite chacune de mes victimes,
avec le respect auquel il à droit,
je vous assure, c'est pas pour la frime,
seulement, c'est le travail qui veux ça.

Quand je découpe quelqu'un,
je reste toujours polis et aimable,
je lui propose même un peu de vin
avant de l'allonger sur la table.

C'est vrai que j'y prend plaisir,
mais c'est pour une bonne cause,
il faut bien pouvoir les nourrir
les divinités et les monstres moroses.

Mais le problème, en ce moment,
je manque cruellement de fournisseurs,
c'est que depuis quelque temps
qu'est ce qu'ils tombent les dictateurs,

avec tous ces nouveaux despotes,
tout doit être rentabilisé,
ça ne les contentent pas d'être potes
avec les divinités.

Moi, j'ai entendus dire,
par certains de mes amis,
qu'ils allaient en subir
le courroux d’Artémis.

Elle serait prête à décrocher la lune,
pour tout secouer un bon coup,
certains risquent d'y perdre des plumes,
mais ça fera un spectacle de fou !

Certains des dieux,
commenceraient à prendre les paris,
et que les enjeux,
seraient les âmes les plus pourries.

Moi J'ai joué le mien
un chiffre au hasard,
classé à cent contre un,
juste trois milliards.

Hadès, m'a dit que je n'avais aucune chance avec un chiffre rond,
lui il à misé presque le double et demis,
comme je lui ais dit, ça me laisse une chance sur sept mille millions,
on à bu à la chance, et on a bien ris.

Donc en définitive,
je ne suis qu'un petit ouvrier
fort bien servile
pour des clients oubliés.

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23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 13:19

 

Tiens, pour changer, un texte culinaire.

Certains me diront, c'est du réchauffé, oui,

mais j'ai renversé de l'huile sur le feux, et c'est partit en eau de boudin !

 

Alors cachez vos mirettes, si vous êtes dans le texte,

car il peut choquer les âmes sensibles.

 

 

Interdit aux enfants, et à ceux qui on du cœur !!!

 

 

 

Moi, quand quelqu'un

me dit j'ai un poids sur le cœur,

alors bien sur comme je suis taquin,

je luis dis,'On a des malheurs' !

 

Dès que je vois ses larmes coulées,

alors je retrouve le sourire,

je ne peu vraiment pas m’empêcher

d'en rajouter un kilo pour mon plaisir.

 

Quand quelqu'un par contre

me dit, j'ai un cœur énorme !

Là ! Je regarde ma montre,

et ne peut contenir une larme,

 

en le priant d'accepter une invitation

chez moi pour le dîner.

Ne pas le faire, serais pour moi déraison,

à lui si bien élevé.

 

Content avec mon nouvel ami,

je m'arrête prendre du beurre,

du cognac pour la viande c'est exquis,

et un oignon pour la saveur.

 

Je le voyais tout conquis,

sur le bout de chemin

qui nous menait à mon logis.

Même qu'il prit le pain !

 

Arrivés, il me demanda,

d'un air réjoui,

ce qu'il y avait au repas.

Je lui sourie.

 

Et bien, un cœur de belle taille,

je crois qu'il n'avait pas encore pigé.

Jusqu'à ce que du ventre au menton je l'entaille

pour prendre l'organe prisé.

 

Ok, quand je fais de la cuisine

je salis, c'est vrai,

mais de vous à moi, c'est sublime

d'avoir un cœur bien frais.

 

Mais il n'était pas si gros,

autrement il n'aurais pas accepté,

et m'aurait invité au resto,

il aurais été mieux engraissé !

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22 janvier 2012 7 22 /01 /janvier /2012 11:52

 

Khepra scarabée sacré,

autrefois adulé comme un dieux,

aujourd'hui appelé bousier,

à continué son travail laborieux.

 

Basteth déesse chatte,

ancienne prêtresse d'amour, et du soleil,

honorée à Bubaste,

se dore sous l'astre dans des siestes sans pareil.

 

Fenrir le grand loup,

attend patiemment que son ruban lâche,

pour libérer son courroux,

avaler le monde et finir sa tâche.

 

Hugin le sage, le réfléchit,

et Munin celui qui n'oublie rien,

leurs descendants s'ennuient

dans les champs vides de bon grain.

 

Io ou aussi, Adhumla, la vache qui créa le monde,

mère née de la vapeur,

allaitant le géant au commencement des secondes,

surveille encore nos erreurs.

 

Seront nous digne du panthéon,

sauveront nous l'avenir,

trop de travail pour redorer notre blason,

nous méritons leur ire.

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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 12:34

 

 

J'ai une ancienne momie,

bien rangée au fond d'un grand tiroir,

c'est une vieille amie,

à qui j'ai promis de garder des pillards.

 

C'est en y faisant la poussière,

que j'ai remarqué

qu'elle avait un drôle d'air,

elle était toute fripée.

 

Alors, en voyant sortir une fourmi

suivie de deux sœurs de dessous les bandelettes,

que le mystère c'est enfin éclairci,

et ais compris pourquoi elle faisait cette tête.

 

Je suis allé chercher un fourmilier,

pour pouvoir régler le problème,

mais ça l'a tellement chatouiller,

qu'elle en est devenue toute blême.

 

Et elle en a tellement rie,

que toute la fourmilière

en panique en est sortie,

pour le régal du mammifère.

 

Ses traits se sont finalement retendus,

je fus enfin soulagé

et quand son teins est aussi revenu,

son tiroir ai fermé.

 

Sur que dorénavant,

je surveillerait les intruses,

et serais plus vigilant

devant leurs vilaines ruses.

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 12:28

 

Armées de zombies
qui dévorez sans distinctions
bien consciencieusement toute vie
dans vos élans de consommations ,

reculez devant un mot élémentaire,
un élan d'amour
pour crier à notre mère la terre
bientôt sera mon tour,

de toutes mes tripes hurler
sans pouvoir me taire
jusqu'à en éclater
et me répandre sur terre,

me mêler aux rivières, aux océans,
sentir le parfum des derniers paradis
les garder dans le cœur jusqu'au néant
avant qu'ils ne soient partit

après de toute l'eau restante de la planète,
éternellement je pleurerais,
que pour des profits les avoir vus disparaître,
tristement je contemplerais

la tombe de l’humanité
avec un vide à l'âme.
J'irais finalement graver
avec le sel de mes larmes

une simple épitaphe,
sa dernière volonté.
Juste un paragraphe
sur le monde j'ai laissé.

" Nous ne sommes pas partit seuls,
  avant nous, la vie,
  les animaux les plantes,et ses sels,
  nous avons pris."

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