Cette chanson que je vous propose, n'est en rien subversive,
ne prenez pas outrage de ces quelques pages,
qui aux plus éclairés est dédiée !
sur un air bien connu, j'espère qu'elle ne me vaudra pas les fers,
je n'ai rien bafoué, mais juste remodelé.
Ah, et l'alcool est dangereux, pensez-y !
Aux larmes épicuriens !
Allons enfants de tous pays
le jour de croire est arrivé,
que toutes races s'adonnent à la vie,
les rockeurs de cent ans vont jouer, (bis)
entendez vous dans le champagne
mûrir les gosses que voilà ?
Ils viennent en musique dans nos bars
écouter nos rifts, s'enrichir l'âme !
(refrain)
Aux larmes épicuriens
chantez vos citations
clamons, clamons !
D'un chant si pur
faire œuvre nos passions !
Aux larmes épicuriens
chantez vos citations
clamons, clamons !
D'un chant si pur
faire œuvre nos passions !
Que deux cordes donnent un octave
entraînent un émoi partagé !
Puisez des vins nobles en cave,
des verres d'vin blanc à volonté ! (bis)
Chantaient pour nous, ah ! quel saoulage !
Quels accords pour toi vont joués ?
C'est fou c'qu'une pause C'est s'éclater,
s'rendre aux Antilles sur un nuage !
(refrain)
wouah !des marmottes sur l'étagère
mettraient du chocolat dans du papier !
Wouah ! Le p'tit blanc tape la cafetière
dessécherait verres et gosiers ! (bis)
Gratteux ! Par vos mains déchaînées
un son, là se joue un air vrai
des rimes mon pote t'en planerais
des lettres de nos chansonniers !
(refrain)
Chantez, pimpants et tout en rimes
l'aurore n'est pas encore ici,
Buvez ! Vos verres sont pas encore vides
d'un vin du terroir, j'vous l'parie ! (bis)
on se louera pour notre éclate,
s'ils tombent juste après l'apéro,
un verre d'jus d'fruit et un p'tit rot,
comme vous tout au près de l’âtre !
(refrain)
Non mais , écrivez donc vos hymnes,
sortez vos idées de mots doux !
Échangez des lignes volubiles,
en pamphlets pour les amants fous. (bis)
Lassé des notes sans lumières,
leurs rêves frémissent aux baisés,
qui sous les tiges du noyer,
pétrirent les seins de leur chère !
(refrain)
Amour choyé de leur douce mie,
conduit leurs mains et doigts douceur
bien-aimée, bien-aimée chérie,
prend moi avec toute ton ardeur ! (bis)
Sous nos chapeaux que la nuit noire
recouvrent nos pâles amants,
que tous les envient en l'instant
vois, le silence viens bien tard !
(refrain)
(couplets du printemps)
Nous chanterons dans la clairière
quand les aimés seront repus,
nous y festoierons à la bière
sur la place à l'heure venue (bis)
tous biens fous de joie et de rires
fous à déclamer leur recueils,
nous crierons de subtils clins d’œils
à l'apogée de tous nos livres.
Les gens dont le cœur est emplis,
fassent la paix sous tous les cieux !
Ayons pour tous une larme amie
des vœux pour unir en tout lieux. (bis)
Soyons amis ! Tout est possible ;
nos villes bien fournies chanteront,
alors résonnerais le son
de liberté enfin visible !
(refrain)
(refrain)